Cet article a été publié initialement dans le magazine Report on Business du Globe and Mail (en anglais seulement) le 25 avril 2025.
Nav Dhillon, chef des Services financiers, Aviva Canada
L'été dernier a marqué un record pour le Canada, mais pas dans le bon sens du terme : la succession d’inondations, d’incendies et de tempêtes de grêle catastrophiques a entraîné des pertes assurées de plus de sept milliards de dollars, et donc une quantité considérable de demandes d’indemnité pour Aviva. À titre de chef d’équipe du service d’indemnisation, M. Dhillon, aurait pu chercher à réaliser des économies, mais il a préféré être proactif en collaborant avec des ateliers de réparation automobile en Ontario et en Alberta pour remodeler la stratégie d’indemnisation d'Aviva et faciliter et accélérer les versements d’indemnités. Si cela ne ressemble pas à une compagnie d'assurance avec laquelle vous avez déjà eu affaire, c'est normal. « J’estime que notre travail consiste à aider les gens à se remettre sur pied le plus rapidement possible », explique M. Dhillon, qui a contribué à la réalisation plus de 250 millions de dollars d'acquisitions pour financer cette initiative qui s’appuie sur le principe de la bonne foi. Alors que d'autres assureurs réduisent leur couverture pour des événements de plus en plus courants, comme les inondations de sous-sols ou les refoulements d'égouts, Aviva fait preuve de proactivité pour s'adapter aux changements climatiques inévitables. « Je me projette dans cinq, dix, vingt ans et je réfléchis à la manière de garantir que les Canadiens seront prêts. »
- Rosemary Counter